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Le temps perdu...
Proverbe
" L'heure, c'est l'heure!
Avant l'heure, ce n'est pas l'heure.
Après l'heure, ce n'est plus l'heure."
Réflexion sur le temps qui passe...
Temps ! Toi qui nous fais face ! Toi qui, de minute en seconde, nous fait vieillir un peu plus chaque jour qui s'additionne en une pyramide de bobos insignifiants qui prennent de l'importance au fur et à mesure que tu t'écoules insidieusement sur nos vie, sur notre peau et dans nos veines ! Toi qui, insensiblement nous mène aux portes de l'éternité. Ô Temps ! Toi si précieux ! Toi que nous gaspillons comme le ferait un enfant su plus beau de ses jouets ! Tu vas trop vite ! De nos heures constituées de secondes, de nos mois qui s'égrainent en années, tu nous prives de toi, tu nous prives de ce qui fait un des charmes de l'existence lorsqu'elle se fait douce; mais si tu de dérobes aux uns, tu te donnes aux autres: le nouveau né dans son berceau ! A peine ouvre t-il les yeux sur le monde, qu'il est déjà sous ton emprise ! La jeune fille pleine de fougue et d'énergie, encore une toute jeune femme bercée de rêves et d'illusions : à peine est-elle sortie de l'enfance, qu'elle s'entend souvent répéter par ses aînées, comme une rengaine qu'elle ne peut plus supporter parce que trop entendu, ces mêmes mots assommants dont elle n'a que faire:
"- Oh, tu es jeune mon enfant ! Tu as la vie devant toi ! Tu as le temps ! "
Le temps... Tout le monde sait que le temps passe très vite et qu'il n'est que très relatif ! Le temps n'est là que pour nous permettre de le fractionné et lui donner une consistance afin de le rendre visible à nos yeux. Le temps est quelque chose que l'homme ne peut dompter ! Le temps s'en va passe et fuit et contre ça, l'homme n'y peut rien ! Si nous ne lui avions pas donné une apparence en le divisant en secondes, minutes, heures, mois, années, il n'y aurait pas de présent ni de passé et encore moins d'avenir... Nous serions là, au même titre que les animaux et ce serait tout. L'homme à voulut, parce qu'il a une intelligence, le quantifier pour avoir un semblant de contrôle sur lui pour le maîtriser. Y est-il arrivé ? En apparence, peut-être... Je dis bien, peut-être ; mais en réalité, non. Nous ne faisons que le subir. C'est simple!
Regardons les prisonniers. Ils perdent la notion du temps quand il sont en chambre d'isolement. Ils leurs faut faire des petits bâtons qu'ils quantifient par petits paquets de sept qu'ils gravent sur le mur de leur cellule pour ne pas oublier le nombre de semaines, ou mois qu'ils sont enfermés... Ceci est bien la preuve de la relativité du temps qui passe.
Ô Temps ! Toi, le temps ! Comme nous aimerions freiner ta course ! Le pauvre vieillard, lui, te consomme jusqu'à la limite de ses forces. Jusqu'à l'ultime étincelle de vie persistante en son regard éteint et fatigué. L'ultime souffrance, désespérance, indifférence, lassitude, solitude qu'il doit subir jusqu'à son dernier souffle. Les douleurs qu'il ressent au plus profond de son être, quelles soient dû à la solitude, qu'elles soient physiques ou psychologiques ou les deux en son corps engourdit, il ne les accepte plus. Le pauvre vieux se racornit et se tasse... Les os de ses jointures rouillées grincent, ses cartilages et tendons lui disent que le grand sablier de la vie qui chronomètre la longue marche des vivants, pour lui, s'est presque entièrement dévidé. Qu'il lui est compté. Qu'il n'a plus rien à faire sur cette terre que de tirer sa révérence. Que pour lui, le temps est derrière lui.
Pourtant, le temps, l'existence à du bon sous ton aile ! Nous aimons la vie ! Malgré nos malheurs, nos peines et nos désillusions, nous ne pouvons ni ne voulons (certainement par peur de ce qui nous attend de l'autre côté du miroir) nous résoudre à t'abréger. Tu es le temps. Tu es incompressible, incontrôlable et perpétuel. Ta cadence est régulière et ininterrompue depuis le commencement du monde et sans doute n'était-tu que néant avant la naissance de l'humanité. Rien n'échappe à la règle ! Nous ne sommes que de simples voyageurs qui, une fois embarqués dans le train de la vie, devrons attendre et redouter le moment fatidique où celui-ci ralentira pour, enfin, s'arrêter et laisser descendre les passagers n'ayant qu'un aller simple pour un voyage sans retour. Tu ne nous laisses guère le choix d'entrevoir aucune autre alternative qui vaillent vraiment la peine de continuer notre route. Jusqu'à l'arrêt complet du convoi. Nous qui sommes désillusionnés, désabusés, vieillis par nos divers choix de vies, nos parcours hasardeux, nos erreurs... Si fatigués, nous en arrivons à regretter le moment fatidique où nous devrons descendre sans nous retourner pour nous en aller vers d'autres ailleurs. Nous, grands voyageurs de l'inconnu, ne te subissons que l'espace d'une vie ; mais c'est encore trop peu ! Trop peu pour avoir eu le temps de tout faire ! Que notre vie soit douce, longue, courte et cruelle, nous ne pouvons ni ne voulons nous dérober à ton emprise et si l'envie nous effleure de t'écourter, l'espérance de jours meilleurs ( faisant partie, pour certains, de la peur que nous avons d'accomplir le geste fatal nous conduisant au sommeil éternel ) nous fait reprendre courage pour accomplir le reste de notre route constituant notre destiné qui nous est personnellement impartie, ce qui nous fait cheminer, malgré notre peur de la dame à la faux, dans les dédales incommensurables de ton être impalpable... Nous gravissons les marches de l'escalier de notre existence sans bien nous rendre compte que tu nous emmènes aux portes du néant. L'échelle de Jacob est longue et pourtant si courte ! Il est trop tard ! Trop tard, lorsque nous, nous apercevons que ton empreinte s'inscrit en marques profondes sur nos visages encore jeunes ! Trop tard, lorsque, au bout d'un faux pas, nous désirons faire marche arrière! Faire le chemin à l'envers ! Recommencer sa vie ! Une seule fois sa vie! Qui n'a pas rêvé de repartir à zéro? Cela peut nous laisser songeurs... Mais le train de la vie ne va jamais à reculons ! Et toi, le temps, tu ne te prêtes pas à ce petit jeu ! Pourtant, je n'ai pas assez goûté aux simples joies de l'existence, aux doux plaisirs de connaître une enfance heureuse pour que tu te permettes de mettre des rides sur mon front encore enfantin ! Non! Je n'ai pas assez vécu ! Frustrée de mes années tendresse autant que celles de mon adolescence, je me les considère comme dues ! Je refuse que tu abrèges mes jours sous prétexte de maladies, d'accidents ou de toutes autres fatalités qui pourraient écourter mon passage en ce monde ! Je m'octroie le droit de revendiquer mes années manquantes que j'ai effectué sans bien me rendre compte que ma fuite en avant était déjà commencée.
— " J'attends de toi de l'indulgence ! Je n'ai que trente ans ! Ou bien trente cinq ou encore quarante ! Ou peut-être cinquante ! Pas tout à fait cinquante ? Ah ! Oui ! Quand même cinquante ! NON ! Soixante ?! Que ça passe vite ! Aller ! Pour faire bonne mesure, soixante cinq! Qui dit que je n'en ai pas soixante huit?... Je navigue donc sur les vagues de ces eaux là? Sur les vagues de la cinquantaine ? Ou bien de la soixantaine ? Peut-être même soixante dix ans ?! Qui le croirait ? "
Je n'ai pas l'âge de mes artères ! On ne me donne pas l'âge de mes artères ! Dans ma tête, j'ai vingt ans ! Oui ! J'ai vingt ans ! De la clémence, tu n'en as pas ! Indifférent à mes exigences, à mes petits bonheurs, petits tracas, petites espérances ou désespérances, tu passes sur ma vie sans te soucier des effets dévastateurs que tu traces sur mon corps qui hurle sa jeunesse pas tous les pores de sa peau ! Chaque fois qu'une nuit s'achève, lorsque mon miroir reflète mon image, je les remarque ces traits bouffis, fatigués où d'infamantes petites rides, pendant que je dormais, se sont installées sans complexe, en sournoises au coin de mes yeux, au dessus de ma bouche charnue, juste sous mon nez, au dessus de ma lèvre supérieur, aux commissures de mes lèvres encore lourde de sensualité, sans oublier le terrain propice et privilégié de mon cou encore ferme, invisiblement mais légèrement flasque qui voudrais encore se payer le luxe de refuser d'accueillir la naissance du petit double menton hypocrite et dernier né des dégradations biologiques et temporelles dont sont constituées nos cellules et dont nous sommes les victimes non consentantes...
Bientôt, avec une insistance non dissimulée, mon petit double menton se sera installé pour de bon, bien décidé de tenir compagnie à ces sournoises demoiselles qui, chaque jour un peu plus, gagnent du terrain en surface et en profondeur sur ma peau, en apparence, toujours lice et veloutée ; mais de plus en plus luisante de crème anti-rides.
Pourquoi, le temps ? Dis-moi pourquoi, lorsque de petites joies nous inondent, sembles-tu passer si vite sur nos petits bonheurs ? Et pourquoi prends-tu tout "ton temps" pour passer sur nos regrets, nos remords, nos silences lourds de tous les sous-entendus inavouables qui nous font mal et nous rongent, ce qui nous épuisent à petits feux? J'ai bien peur que tu ne puisse pas y changer grand chose ! La relativité du temps est très subjective ! Ce n'est qu'une impression dans la durée de notre vie ! Le temps n'est qu'une simple illusion et bien sûr, il est est le temps perdu que l'on ne peut rattraper parce que "Le temps perdu ne se rattrape jamais plus..."
N. Ghis.
Texte écrit en 2016
Tags : temps, ton, vie, petits, bien, temps, ton, vie, petits, sans, passe, perdu, rattrape, jamais, plus, train, descendre, en, marche
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Commentaires
Révérence ma chère Ghislaine,
J'avais lu ce texte dans ton autre blog mais ce n'est pas grave, je l'ai relu avec plaisir.Il est bien écrit et tellement vrai ! Ah ce maudit temps qui passe...Il file trop vite ! C'est pour ça qu'il faut profiter de la vie, des bons moments et de son entourage.Faisons ce que nous aimons, si on peut bien sûr car ce n'est pas toujours évident.
Aujourd'hui nouveaux articles parus dans mes 4 blogs.Passes sur ceux que tu veux mon amie, j'aime lire tes commentaires !
Bonne journée, pas trop chaude j'espère.Chez nous ciel nuageux et douceur.
Gros bisous et amitié sincère de Florence
bonjour ghislaine qu el beau texte oui le temps passe trop vite souvent a notre gout
mais c est la vie passe un bon dimanche bisous
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Dimanche 14 Août 2016 à 17:40
La vie est ainsi faite: nous le savons bien; mais il est certain que si nous n'étions pas obligés de subir ces dégradations que le temps nous infligent, nous ferions tout notre possible pour ne pas supporter la déchéance de nos corps. Je suis sûr qu'il y aurait beaucoup de personnes (d'ailleurs, nous en avons la preuve avec celles ou ceux qui le peuvent financièrement et qui essaient pas tous les moyens de paraître plus jeunes), pourtant nous savons toutes et tous que la jeunesse n'a qu'un temps, que nos artères et notre squelette tout entier subit irrémédiablement les outrages du temps: changer de visage en le raffermissant en tendant la peau avec la chirurgie esthétique, changer d'apparence, nous aide à supporter notre visage et notre corps dans le miroir; mais ne changera rien à l'affaire qu'à nous illusionner sur notre longévité illusoire... Nous le savons; mais c'est plus fort que nous.
Bonne journée et bon 15 août! Amicalement, Ghislaine
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Bonjour Ghislaine comment vas tu mon blog est termine tu y sera la bienvenue je me lasse pas de ton texte il est si beau bisous elyci
Hello Ghislaine
Moi le temps j'en fais mon affaire, hihihi
Amitiés
Jo
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Lundi 14 Novembre 2016 à 17:55
Bonsoir Jo,
Pour vous les hommes, ce n'est pas la même chose que pour nous les femmes habituées à être belles, et bien mises, charmeuses pour vous les hommes, et lorsque la jeunesse et la beauté s'envole, que reste
t-il à part l'esprit lorsque certaines en ont, mais celles que la nature à mal servi?... Je pense à toutes ces femmes qui ont eu une vie malheureuse pour X raisons, ces femmes vraiment pas gâtées par cette nature qui ne donne pas les mêmes chances à tout le monde... et ces hommes aussi qui n'ont pu réaliser leurs rêves ou même se réaliser eux-mêmes?... La vie est une vraie "vacharde"! Pas facile pour tout le monde! Il y a une chanson qui dit : " La vie n'est pas facile!" L'on dit aussi que les enfants sont toujours les héritiers des conneries des parents... A méditer...
Bonne soirée Jo! Merci pour ton passage. Amitié, Ghis.
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Bonjour ma petite Ghislaine,
Merci pour ta visite matinale et le beau temps sur le cheval ailé.Merci pour la belle image
J'espère que tu vas bien et que tes douleurs ne t'embètes pas trop ? Mon mari et moi ça va.Averses et douceur chez nous dans la Nièvre.L'humidité n'arrange pas mes douleurs au dos pff !
Mon blog est désormais consacré à la féerie et à l'univers celtique que j'adore.J'ai déjà posté quelques articles sur ce monde il y a quelques temps...Plutôt que d'ouvrir un second blog, je préfère mettre les deux univers dans le même.Je n'ai plus envie de gérer plusieurs blogs comme avant, trop de boulot !
Bonne journée mon amie adorée.
Gros bisous de mon mari et moi.
Florence
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Jeudi 17 Novembre 2016 à 19:31
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J'ai pris le temps de lire cet article sur le temps !
Bon weekend Manon !
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Samedi 28 Janvier 2017 à 10:10
Bonjour cher Marc,
Merci de m'avoir lu. Je suis désolée; mais mon prénom n'est pas Manon ; mais Ghislaine.
En sois, ce n'est pas très grave : ma petite minette s'appelle Manon :
C'est quand même tombé au bon endroit. LOL!
Vous êtes vous retrouvé dans cet amas de mots concernant le temps? LOL!
Je vous souhaite un très bon week-end! Amicalement, Ghislaine.
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Hello Ghislaine
C'est en effet un magnifique texte,
écrit en 1999, mais je n'étais pas encore née, moi, hihihi
Parole d'oiseau
ah, attends un peu que je réfléchisse car le temps passe si vite et je
n'ai qu'une vielle montre en bois, hihihi
Amitiés
Jo
Hello Ghislaine
Je suis revenu te faire un coucou pour remettre ma montre en bois à l'heure.
Je cherche à me souvenir de ce qui s'était passé demain....
Gros bisous
Jo
Tu es mon condor préféré mon cher Jo ! Ah ! mais c'est vrai que tu es le seul que je connaisse ? Toujours en plaisantant tu me fais tellement plaisir en passant me voir ! Le temps (encore lui) passe beaucoup plus vite lorsque je lis tes gentilles plaisanteries. Gros bisous, Ghis.
Hello Ghislaine
J'ai troqué ma vielle montre en bois contre un atome de césium , celui-ci vibre
9 182 631 770 fois par seconde. Il nous donne l'heure la plus précise qui existe. c'est moins poétique que ma montre en bois mais tu dois te demander à quoi cela sert.
Un compteur électronique additionne chaque vibration, arrivé à 9 milliards et des broutilles
il compte une seconde. Tu vas encore me demander à quoi cela sert une si grande précision?
C'est simple: dans ma petite tête d'oiseau pendant deux vibrations je me crée un Univers.
Tu vas encore me dire que 9 milliards d'univers cela fait beaucoup mais c'est à peu près le contenu
de mes rêves. Vite il me reste encore plus de 9 milliards à parcourir dans la prochaine seconde. Tu vas encore me dire que c'est impossible mais c'est pourtant ce que font les atomes de nos corps et nul ne peut douter que nous sommes composés d'atomes.
De temps en temps je vais tout de même regretter ma vielle montre en bois, hihihi
Gros bisous
Jo
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Mercredi 19 Juillet 2017 à 13:50
Mon cher Jo, Oh ! Si ! Moi je sais ce que sont des atomes et que je suis faite d'atomes comme tout ce qui vit sur cette planète ! Je ne suis pas du tout surprise que tu m'annonces tout cela en trois secondes qui en comptent vingt sept milliards en tout. Hi!HI!HI! Tu es un coquin qui veut démonter mon temps si précieux avec qui je bavarde à perte dans ma nouvelle ci-dessus ? Et ça, je le sais ! "Mais ça, au moins, je le sais" disait Jean Gabin. Pourtant, il y a une chose que tu ne peux pas démonter à coup d'atomes, mon cher Jo : c'est que la poésie du temps perdu ne se rattrape jamais plus ! Petit Garnement ! Vas !
Jojo le condor : tu es un sacré petit garnement ! Na ! Amitié mon ami, Ghislaine.
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Coucou Ghislaine
je viens de voir après une belle réflexion sur le temps qui passe que tu avais posté à la fin une de mes compositions images sur une fractale de Jo
Oh la la tu ne peux pas savoir comme j'ai vraiment été très touchée car c'est une création image que j'affectionne particulièrement
je t'embrasse
Nicole
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Jeudi 10 Août 2017 à 11:42
Bonjour ma Nicole,
Oui : c'est une très belle image que j'affectionne parce que c'est toi qui l'a créé et qu'en plus, elle est tout à fait à sa place pour illustrer ce texte. je suis heureuse que tu l'ai remarqué car le texte n'est pas d'aujourd'hui et tu aurais pus passer à côté. Là elle est et là elle restera car elle illustre tout à fait la réflexion sur le temps. Je t'embrasse aussi chère Nicole. Merci pour ce gentil compliment, Ghislaine.
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Hello Ghislaine
Il y a un temps pour toutes choses, combien de fois entendons-nous : " Je n'ai pas le temps"
Il y a un temps pour vivre et un temps pour mourir, entre les deux nous avons tout le temps.
Tant qu'il y a de l'amour, nous avons le temps
Qu'est-ce qu'un souffle de vie sinon le temps?
Gros bisous d' un volatile farceur qui a pris le temps pour t'écrire quelques mots
Jo
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Mardi 29 Août 2017 à 17:51
" Le temps, le temps n'est rien d'autre : le tiens, le miens , celui qu'on veut notre, le temps qui va le temps qui sommeil , le temps sans joie,le temps des merveilles, le temps d'un jour, temps d'une seconde, le temps qui court ou celui qui gronde, le temps passé, celui qui va naître, le temps d'aimer et de disparaître, le temps des pleurs, le temps de la chance, le temps qui meurt, celui des vacances, le temps passé, le tien, le miens, le temps glorieux, celui d'avant-guerre, je temps des jeux, celui des affaires, le temps joyeux, celui des mensonges, le temps frileux et le temps des songes, le temps des crues, le temps perdu, celui de la vie, le temps qui vient, jamais ne s'arrête et je sais bien que la vie n'est faite que tu temps des uns et du temps des autres... "
Ca ne te rappelle rien cette chanson ? le temps : c'est le temps...
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Hello Ghislaine
Lorsque le temps va, tout s'en va.....
Ce n'est pas du Léo Ferré cela ?
Le temps a inspiré de nombreux poètes, dont une certaine Ghislaine, hihihi
Le Condor lui n'est qu'un tout petit poète, hihihi
Gros bisous
Jo
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Mardi 29 Août 2017 à 18:31
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Lundi 19 Février 2018 à 11:12
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Bonjour chère Ghislaine c est toujours agréable de lire chez toi mille merci pour ce partage,je te souhaite un bon week end et prend bien soin de toi..gros bisous...PASCAL
Hello Ghislaine
J'espère que tu vas bien, ton volatile préféré est venu se percher un peu chez toi.
Mon nouveau roman s'intitule " Ce n'était pas hier mais demain"
Ouf, encore une affaire de temps, on n'en sort plus.
Ce matin j'ai regardé le temps qu'il faisait, j' ai décidé qu'il était temps de sortir un peu.
J'ai pris le temps de boire un café à une terrasse.
J'ai décidé de prendre mon temps. Ma vielle montre en bois s'est arrêtée.
Encore une affaire de temps,hihihi
Gros bisous
Jo
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♥Bonjour Ghislaine
Cette nouvelle sur le temps est magnifique
tu y poses sans complaisance sa présence , on entend l'heure, et compte les minutes qui nous semblent quelquefois si longues ou si courtes c'est selon l'Instant
Je te pose tendresse du cœur
♥